Français 319
André Djiffack
Cécité : volontaire ?
Dans son roman, La Symphonie Pastorale1, André Gide nous montre une histoire des perceptions différentes. Il explore l’idée de subjectivité par examiner une incapacité médicale de perception : la cécité. Cette exploration est présentée par le rapport entre deux personnages opposés. Gertrude est physiquement aveuglée, et le pasteur, il est une aveugle figuratif. Soit-il que voir est quelque chose de plus que regarder ou connaître, mais quelque chose de volonté? C’est un des questions que Gide nous présent.
Au début du récit, on rencontre le pasteur, qui raconte l’évènement d’un mort, ou il est allé et ou il a trouvé Gertrude. Elle est la nièce de la décidée, et elle n’as personne pour s’aider a vivre. Le pasteur trouve que c’est son responsabilité, donné par Dieu, « de prendre soin moi-même de cette pauvre abandonnée » (16). C’est au moment un acte noble au point vu du pasteur, mais au point vu du lecteur, quelque chose ne va pas. Ils la considèrent comme objet, pas comme être humaine. On pense que Gertrude est aussi sourde, et on parle devant elle : « … mais c’est une idiote ; elle ne parle pas et ne comprend rien à ce qu’on dit » (15-16). Pour la première fois, on doute le pasteur.
Il devient plus et plus clair au lecteur que peut être le narrateur n’a pas toute la raison qu’il assume. Le pasteur décrit un rapport avec sa femme, Amélie, et sa réaction nous montre une autre perspective. « [E]lle déclara que j’allais toujours de l’avant sans jamais m’inquiéter de la résistance de ceux qui suivent,» et proteste la présence de Gertrude par dire qu’ « elle se sentait à bout » (23). Deux pages après le moment ou le pasteur se présent comme altruiste, motivé « par disposition naturelle que par principes, » (30) nous le voyons prend grand plaisir dans cette altruisme. La voix du pasteur, qui nous relate cette histoire de sa tour d’ivoire, a une qualité fausse. Le pasteur a commis la péché des anges : ce qu’on appelle avec la mot grecque « hubris. »
Il devienne clair avec la venir d’un docteur médical, Martins, que Gertrude n’est pas idiote ou même sourde, mais qu’elle est « demeurée dans un état d’abandon total » (33). Le docteur décrit une méthode qu’on peut appliquer pour enseigner Gertrude, et le pasteur la commence. Quand la méthode réussit peu à peu, et elle fait sourire, c’est « moins un sourire qu’une transfiguration, » (42) mais pour qui ? Le pasteur commence a décrire Gertrude comme une ange, mais c’est il qui «[eusse] une sorte de ravissement devant l’expression angélique qu[‘elle] put prendre soudain … » (42).
Comme l’histoire progresse, nous voyons une inversion de tous entre ces deux personnages. Que Gertrude advient plus et plus capable de s’exprimer, on la voit comme quelqu’un avec beaucoup de potentiel : elle est curieuse, optimiste, et elle formule des questions intelligents. Le pasteur la prend a un concert, ou on y joue La Symphonie Pastorale de Beethoven, et elle lui demande: « est-ce que vraiment ce que vous voyez est aussi beau que cela ? » (55). Et que cette conversation progresse, on voit le pasteur pour ce qu’il est, un manipulateur. « Aussi beau que quoi, ma chérie ? » (56) il répond a la question, mais il sait que quoi.
Le pasteur cache le mal d’elle dans tous ses instructions et rapports. Quand elle le demande de ne jamais tromper à elle, et puis si elle est jolie, il raconte au lecteur que « cette brusque question m’interloqua, d’autant plus que je n’avais point voulu jusqu'à ce jour accorder attention à l’indéniable beauté de Gertrude, » (58-59) mais à elle il répond finalement par nie l’importance de beauté physique. Il se cache encore dans l’altruisme, et il dit : « un pasteur n’a pas à s’inquiéter de la beauté des visages, » (59) un mensonge directe. Gertrude ne peut pas voir qu’elle a été trompe, mais pour le lecteur c’est clair comme la lumière du soleil. C’est elle qui cherche la vérité, et il qui essaye la cacher.
On est encore montre la vérité par Amélie, la femme du pasteur, après cette concert. Elle est fâchée qu’il l’as apporte au concert, et elle dit « tu fais pour elle ce que tu n’aurais fait pour aucun des tiens. » (60). Le pasteur n’intéresse pas a sa famille, seulement a soi-même et à Gertrude. Plutôt à soi même. Temps passe, et comme elle devient plus et plus avertie, elle se libère des manipulations du pasteur. Elle le confronte et elle dit : « tout le bonheur que je vous dois me paraît reposer sur l’ignorance… Je ne veux pas d’un pareil bonheur… Je préfère savoir » (125).
Tôt, Dr. Martins est revenu et il se passe que Gertrude est déclarée opérable. L’opération est réussie. Cet événement marque la fin de l’inversion entre le pasteur et Gertrude. Le pasteur n’a rien de la pouvoir dans leur rapport. Elle est libre. Elle voit la vérité de la relation entre elle et le pasteur, et elle dit « Quittez-moi. Quittons nous. Je ne supporte plus de vous voir. » (148). Le matin qui suivre, elle est mort, et le pasteur se trouve tout seule. C’est lui qui tombe dans la cécité et ne peut pas voir, même maintenant, qu’est passé. L’homme qui a eu tous la pouvoir et raison est « agenouillé près d’Amélie, lui demandant de prier pour moi, car [il] avait besoin d’aide» (150). Le lecteur ne sait pas, à la fin du récit, si le pasteur va choisir de voir ou s’il est perdu, mais que Gertrude le voit de sa place, dans les nuages.
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