Sunday, July 27, 2008

« Essayer des mots? » Points vus sur la poésie d’Aimé Césaire

Papier final
Français 303



« Essayer des mots? » Points vus sur la poésie d’Aimé Césaire


Dans l’année 1971, Aimé Césaire a été interviewé par l’écrivain Hattien René Depestre. En réponse à une question sur la sens changeante de la mot «négritude,» une mot que Césaire a créé quand-même, il a dit que chaque personne a une version différente de la négritude. Pour Césaire, c’est «une réussite d’une concrete sur un abstraite», c’est « la conscience d’une situation.» C’est une situation qui est très difficile à comprendre sans avoir les expériences qui l’ont créés elle-même; la situation post-coloniale des pays qui ont été occupé, ou des gens a été partie de l’esclavage.

Sans la poésie d’Aimé Césaire, moi, un américain avec une expérience très différente que Césaire, ne peut pas comprendre ce qu’il veut dire par l’idée de Négritude. Apres avoir lu ses poèmes, je vois la négritude comme une conscience d’un manque, un manque de l’identité et un manque de pouvoir. Colonialisme et l’esclavage a cassé la continuité culturelle de tous les pays qu’ils ont dévoré. Dans la place de l’identité locale les colonisateurs a donne une faux identité : l’identité d’un animal, d’une brute qui n’a jamais vu une civilisation. C’est une partie terrible de racisme, qu’il vole l’humanité comme ça.

Personne ne peut voir cette fausse identité comme un cadeau ; la plupart des gens ne l’acceptent pas. Mais la tort est fait : ils n’ont pas une autre définition. Alors, il y a un vrai manque d’identité qu’on peut voir dans les poèmes de Césaire. C’est poignant que Césaire ne donne jamais l’impression d’avoir perdu l’espoir. Dans son poème, « Blanc à remplir sur la carte voyageuse du pollen » il décrit une forme de la négritude.

« N’y eût-il dans le désert
qu’une seule goutte d’eau qui rêve tout bas,
dans le désert n’y eût-il
qu’une graine volante qui rêve tout haut
c’est assez
roilleure des armes, fissure des pierres, vrac des ténèbres
désert, désert, j’endure ton défi
blanc à remplir sur la carte voyageuse du pollen. »

Dans cette poème le désert est un symbole pour cette manque, la manque d’identité qui tous les victimes de colonialisme partage. Peut-être la blanc à remplir c’est la nom de famille, pour un enfant les ancêtres de qui ont été volé par l’esclavage et déplacé. En comment peut-il retracé de qui ou où il est descendu? C’est ça le manque de l’identité. Quand Césaire parle d’ « une graine volante qui rêve tout haut » il parle de la vraie ascendance des peuples déplacés par le colonialisme. Césaire endure la défi de la désert : il voit cette manque d’identité dans une mode un peu chinoise. La lettre chinoise pour une « crise » combine les deux lettres pour les mots « danger » et « opportunité :» pour Césaire, la Négritude c’est une chance a créé une nouvelle identité. Ici reste l’espoir indestructible de Césaire, et c’est son espoir qui je trouve poignant et universel.

Un autre thème de la poésie de Césaire c’est une crise sociale qu’il décrit comme une catastrophe naturelle. C’est une crise qui a deux parties : un c’est de la politique, et l’autre est de la culture. La crise sociale de la culture il décrit dans la poème « Séisme : »

« tant des grands pans de rêve
de parties d’intimes patries
effondrées
tombées vides et le sillage sali rescapée de l’ideé
et nous deux ? quoi nous deux ? … »

Ici Césaire décrit la manque d’identité, une partie de qu’il s’appelle « négritude, » comme des ruines ou « grands pans de rêve…effondrées. » Et puis il décrit la difficulté dans celui on essaye a trouver un nouvelle identité.

« …Essayer des mots ? Leur frottement pour conjurer l’informe
comme les insectes de nuit leur élytres de démence ?
Pris pris pris hors mensonge pris
pris pris pris
rôles précipités
selon rien
sinon l’abrupte persistance mal lue
de nos vrai noms, nos noms miraculeux
jusqu’ici dans la réserve d’un oubli
gîtant. »

L’identité perdu c’est « nos vrai noms, nos noms miraculeux :» pour Césaire, ils sont des graines d’une séisme, cache dans la terre, qui attend leur moment à venir. C’est la nouvelle identité à venir, pour remplacer la négritude, et faire un nouveau point vu. L’espoir de Césaire reste dans une idée de l’identité cache africaine, qu’il identifie avec la venir d’une crise sociale dans celui peut être les gens qui ont été colonisé peut retrouver qu’il y a été volé.

L’autre partie de cette crise sociale Césaire décrit comme une tornade. C’est la crise des politiques ; c'est-à-dire qu’une révolution contre la misère de la poste coloniale troisième monde, qui va changer la vie.

« Le temps que
le sénateur s’aperçut que la tornade était assise
dans son assiette
et la tornade était dans l’air fourrageant dans Kansas-City…
et la tornade fut dehors faisant apparaître à tous sa large face
puant comme dix mille nègres entassés d’un train… »

Dans ces lignes Césaire présente la crise sociale comme une grande surprise (« …dans son assiette ») qui va changer le visage des politiques. Pour décrire il donne la description « puant comme dix mille nègres entassés d’un train » parce qu’il pense que la crise sociopolitique va apporter tous le mal qui l’as créé.

« Le temps pour Dieu de s’apercevoir
qu’il avait bu de trop cent verres de sang de bourreau
et la ville fut une fraternité de taches blanches et noires… »

Ici on peut voir la pouvoir de la poésie d’Aimé Césaire, ou même Dieu doit s’apercevoir sa racisme et racheter. Et dans ce poème la vérité des races est dit : que tous, « blanches et noires, » fait une fraternité des mêmes espoirs, esprits, et origines. J’étais inspiré après avoir lu ces poèmes. C’est possible que Césaire a créé cette « graine volante » dans la négritude et commence à crée une nouvelle identité pour tous peuples qui ont besoin.

“Séisme” p.92-93 Non Vicious Circle: Twenty Poems of Aimé Céesaire t: Davis, Gregson Stanford, California Stanford University Press 1984
“Blanc à remplir sur la carte voyageuse du pollen” p. 52-53 93 Non Vicious Circle: Twenty Poems of Aimé Céesaire t: Davis, Gregson Stanford, Californie Stanford University Press 1984
“Séisme” p.92-93 Non Vicious Circle: Twenty Poems of Aimé Césaire t: Davis, Gregson Stanford, California Stanford University Press 1984
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“La Tornade” p.138-139 Non Vicious Circle: Twenty Poems of Aimé Césaire t: Davis, Gregson Stanford, California Stanford University Press 1984
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